29 avr. 2007

La maison des Hoffer

La famille Hoffer a acheté une maison à Bernières-sur-Mer en 1933. Ils se font expulser dès l'arrivée des Allemands et la maison, située directement sur la plage, servira de quartier-général et hébergera 1 officier et 6 soldats.

Lors du débarquement, les Queen's Own Rifle ont comme objectif d'atteindre cette maison, la seule encore intacte. Les marins s'enlignent donc sur la maison, et les conducteurs manoeuvrant les péniches de débarquement suivront donc ce point d'orientation indiqué sur leur carte.

L'officier allemand, sentant que l'invasion était sur le point d'arriver, quitte cinq jours avant le débarquement. Bien que recevant une forte opposition, les soldats du Queen's Own réussiront rapidement à libérer la maison. Un soldat allemand sera même trouvé endormi au sous-sol, inconscient de l'invasion prenant son court.

Nous avons eu la chance de rencontrer hier la famille Hoffer. Après la guerre, ils sont revenus habiter leur maison et ils ont ouverts leur porte à quiconque souhaite visiter la maison. Le père à légué la maison à son fils, qui la léguera ensuite au sien puisque ce dernier s'est aussi engagé à perpétuer la tradition. Pour le 50ieme anniversaire du débarquement, quelques centaines de vétérans du Queen's own sont revenus visiter la première maison qu'ils ont libérés avec beaucoup d'émotions.

Les Hoffer nous ont gentiment raconté l'histoire de la maison, en plus de nous montrer des photos de collection et de nous conter quelques anecdotes. À chaque arrivée de guides du centre (trois fois par année), ceux-ci les accueillent et répètent leur histoire avec beaucoup de plaisir.

La maison est séparée en deux et les Hoffer habitent la partie gauche de la maison. Tristement, les habitants de droite (des parisiens) gardent toujours les volets fermés et ne collaborent à aucun événement historique commémoratif.

Courseulles-sur-Mer deuxième partie: La maison des guides

Zis iz ze houze!
Voici donc le 74F rue de l'Église! Au rez-de-chaussé se trouvent la cuisine, la salle à manger et la douche. Au premier se trouvent une deuxième salle à manger (notre préférée), l'ordinateur, le salon et la tv/dvd. Un petit corridor mène ensuite à la chambre des garçons et à la chambre des filles.

Notre chambre à deux étages. En fait, le premier étage de notre chambre est situé à côté de la chambre des garçons, et le deuxième de notre chambre se trouve au-dessus de leur chambre, faisant ainsi un loft ouvert. Une deuxième salle de bain est à notre étage, mais sans douche. C'est assez petit, bien que les pièces principales soient assez spatieuses. Notre propriétaire habite en face et elle adore les p'tits canadiens.

à pied, nous sommes à 15 minutes du CJB. En vélo... 5 minutes environ.

Nous avons terminé aujourd'hui notre formation et demain, j'ai mes premières visites de plage seule avec des touristes!!! Et oui, c'est moi qui commence les visites de plage! petit facteur de stress; demain, c'est la fête du travail en Europe alors imaginer l'affluence qu'on aura... je vous décrirai prochainement notre formation puisque nous avons eu droit à un tour complet de la plupart des lieux touristiques de la région. C'était épuisant mais oh combien utile et intéressant! à suivre..

28 avr. 2007

L'abbaye d'Ardenne

Nous sommes en 1943, près de Authie à l'Abbaye d'Ardenne en Normandie.

Monsieur Jacques Vico est impliqué dans la résistance française, tout comme son père, le maire de Villons-les-Buissons, son frère, sa soeur et sa mère. Il est alors âgé de 21 ans. Les activités de tous les membres de la famille se font pourtant en parallèle, le père et la mère ne sachant même pas que leurs fils sont impliqués dans la résistance.

En décembre 1943, le père de m. Vico est arrêté par les SS. En cachette de leur père, Jacques a caché dans la cave de l'Abbaye des caisses d'armes qui leurs ont été parachutés par les anglais. Le transport des caisses presse puisque les allemands viendront sûrement à l'Abbaye le lendemain pour chercher des preuves de l'implication du père dans la résistance. Jacques, son frère et 10 autres résistants français déplaceront à bras d'hommes et sur plusieurs kilomètres à travers champs les caisses toute la nuit. Ils disparaîtront ensuite, se sachant recherchés.

Le lendemain, douze hommes se présentent chez les Vico accompagnés d'un résistant, ami de Jacques. La soeur de quinze ans de Jacques leur répond. L'homme en charge lui dit qu'ils viennent chercher le matériel de Jacques, mais sa soeur leur dit que Jacques est absent. L'homme insiste alors, mentionnant l'urgence de la situation et disant que Jacques ne pouvait pas quitter, que la résistance lui a ordonné de rester. L'homme sort alors un paquet de cigarettes, et pendant qu'il s'allume une cigarette, le paquet tombe sur le sol. Sa soeur le prend alors, et le tendant à l'homme, elle lui dit: Monsieur, vous ne devriez pas laisser traîner vos cigarettes allemandes.

L'allemand s'emporte et se met à crier. La Gestapo n'a pas réussie à berner la famille Vico. Par contre, les douzes allemands repartiront avec la mère de Jacques qui sera emprisonnée près de Caen jusqu'à la fin mars 1944. Son père sera quant à lui déporté au camp de Mauthausen. Jacques et son frère s'investiront encore plus dans la résistance.

La famille Vico reviendra à l'Abbaye dès la fin de la guerre en Août 1944. En décembre, le petit frère de Jacques découvre un corps enterré dans le jardin. Rien ne marque l'endroit et il est évident qu'on a tenté de camoufler l'endroit. Une fouille plus approfondie permet de découvrir six corps de soldats canadiens. Un mois plus tard, les restes de cinq autres soldats sont découverts un peu plus loin dans le jardin. De retour à la maison, Jacques découvrira quelques mois plus tard une troisième fosse avec un soldat enterré. En mai, deux autres tombes sont trouvées, avec respectivement deux et quatre corps enterrés.

Au total, ce seront dix-neuf corps qui seront trouvés à l'Abbaye d'Ardenne dans le jardin de la famille Vico. Ces soldats appartenaient au North Nova Scotia et aux Fusiliers de Sherbrooke. Ils furent fait prisonnier après l'invasion de Normandie, emmenés à l'Abbaye, interrogés, torturés et assassinés d'une balle derrière la tête.

L'officier en charge des SS stationnés à l'Abbaye d'Ardenne, le Brigadeführer Kurt Meyer, niera durant tout son procès avoir pris connaissance des assassinats. Il sera jugé et condamné à mort, mais la clémence d'un juge militaire et la jurisprudence germano-britannique fera en sorte qu'il soit libéré après quatorze ans d’emprisonnement au Canada, soit en 1954.

Meyer reviendra à l'Abbaye en 1957. Jean-Marie, le frère de Jacques, lui demandera alors pourquoi il n'avouait toujours pas avoir eu connaissance des exécutions. Meyer lui répondit alors qu'il ne pouvait à l'époque vendre ses hommes. Il expliqua avoir envoyé les allemands responsables au front et que le fait qu'ils furent tués le lendemain faisait, pour Meyer, justice aux canadiens assassinés.

Jacques Vico a maintenant 84 ans. Il demeure toujours tout près de l'Abbaye, et il passe ses journées à raconter l'histoire des dix-neufs soldats canadiens qui se sont engagés volontairement pour se battre en France et qui trouvèrent la mort en Normandie. Lorsque nous l'avons quitté aujourd'hui, il nous a regardé et nous a dit: Voilà. Il ne vous reste plus qu'à perpétuer cette histoire et à honorer la mémoire de ces canadiens.

27 avr. 2007

Courseulles-sur-Mer première partie

Courseulles-sur-Mer est un centre touristique très prisé l'été par les parisiens, mais aussi par les anglais. La population passe ainsi de 2000 quelques habitants à près de 20 000.

Nous avons la chance d'arriver au début de la période estivale et les autres guides, Katya, Samantha et Maurice nous ont dit s'être un peu ennuyés tout l'hiver puisqu'il n'y avait pas beaucoup à faire ici. Les cafés et bars étaient fermés, toutes les boutiques fermaient vers 18h et le CJB ferme à 19h00, donc impossible de faire des courses en soirée.

On voit déjà la différence dans la ville avec un certain afflut touristique. Notre accent québécois/canadien reste tout de même unique et nous nous faisons déjà identifier comme la nouvelle équipe de guides lorsque nous parlons dans les rues...

à gauche, une première photo en avant-goût du petit chemin qui mène à la maison des guides. vous pouvez constater que c'est typiquement français, avec les belles façades et le style assez vieillot. la suite bientôt..

26 avr. 2007

Enfin l'Europe

Le regard tourné vers la fenêtre de l’avion, je commence enfin à me laisser aller aux neuf mois d’aventures palpitantes qui m’attendent en Europe. Je délaisse tout tranquillement les lourds sentiments qui m'ont habités jusqu'à ce que mes parents me laissent à l'aéroport, pour considérer le voyage à venir. Je tâcherai, parfois littérairement, parfois comiquement, parfois avec ennui ou paresse, souvent d'une manière plus descriptive que je le voudrais, de vous relater mon voyage. Si mon style vous emmerde, rien ne vous empêche de ne pas revenir, toutefois, si vous y prenez plaisir, vous y êtes les bienvenus. Une manifestation de temps à autre de votre présence, de votre support et de votre appréciation me fait toujours plaisir, mais les silencieux tout comme les plus bavards y trouveront leur place.

Paris

Dès mon arrivée à Paris, la belle et gentille olivia me prend en charge, avec sa coloc Jeanne.

Elles me gardent réveillés toute la première journée, m'aidant à briser derechef mon décallage horaire. Après une marche dans leur sympatique quartier de Belleville, un véritable souper français nous atteint près du Canal Saint-Martin: vin, re-vin, fromage, saucisson, rillette et baguette!

Le lendemain, je me rends en banlieue de Paris ou je dois rencontrer un français. Je vous explique: le centre nous a donné comme premier devoir de faire une petite bibliographie d'un soldat canadien décédé au combat. Premier constat, les informations disponibles ne sont pas nombreuses.
Deuxième constat, les réseaux informels reliés à la deuxième guerre mondiale sont eux vastes et nombreux. D'où ce contact. Je rencontre donc M. Sillas qui a de nombreuses informations à me transmettre pour m'aider à faire ma bibliographie. Je reviendrai plus tard sur le contenu de ma recherche, mais le plus important avec cette rencontre, c'est décidément la passion de ce monsieur!

Non seulement il collectionne les casques, bérêts, armes, uniformes et autres articles de la première et deuxième guerre depuis plus de quarante ans, mais son minuscule appartement ressemble à un musée. Lui et sa femme m'ont bien avertis avant de me montrer la dernière pièce de l'appartement: Une copine s'est déjà sentie très mal en pénétrant ici, alors si vous ne tenez pas à y entrez, nous comprendrons..

Ils me font alors entrer dans une pièce de 8 pieds par 10 pieds emplis de manequins en uniformes... Maquillés, déguisés, armés... C'était un peu freaky, je dois l'avouer. Il reste tout de même que sa collection est énorme et étonnante. Elle vaut quelques centaines de milliers d'Euros puisque toutes les pièces sont authentiques et souvent très rares..

Je suis revenue à Paris en fin de journée, j'ai soupé de nouveau avec oli et jeanne, pour quitter hier, mercredi, dans l'après-midi.

Bon, je sais que vous attendez tous des nouvelles du reste de mon voyage, c'est-à-dire Courseulles-sur-Mer, la maison, les autres guides et le musée... mais je vais vous faire languir encore un peu...

22 avr. 2007

2 jours, 1 jour 0 jour

Bon. C'est du vrai de vrai. Après avoir dit bye à Marie-christine mercredi, vendredi s'était tous les amis et hier la famille.... reste juste maman et pat qui viendront à l'aéroport tout à l'heure.

je me suis réveillée pour la première fois hier avec la boule du voyage. Elle s'est lovée à quelque part entre le fond de ma gorge et mon oesophage et elle ne me quitte plus depuis. Sans mesure, elle me rappelle d'abord que je pars, mais aussi que je prends l'avion dans quelques heures et que finalement, j'aime pas ça tant que ca prendre l'avion. En fait, je l'avoue, j'ai une peur immense à chaque décollage. En vol, aucun problème. À l'atterrissage non plus. Mais j'haïe le décollage.

Bon, continuons. J'en étais à la boule du voyage. En ayant dit aurevoir à tous ceux qui comptent pour moi, ma boule s'est concrétisée parce que j'ai pris conscience que c'était vrai et maintenant. Le vrai décompte est commencé.

Hier, alors que mon père nous ramenait en voiture avec Pascal, max et éli, je ne parlais pas beaucoup. J'étais dans un état qui oscillait entre la fatigue et l'introspection délurée... Je réalisais que je partais, que c'était long, mais que ça allait être cool, que les gens allaient me manquer, bon, vous voyez le genre. Tout d'un coup, à la radio, une chanson des trois accords a commencé à jouer et je me suis sentie... ébranlée. j'aime pas particulièrement ce groupe, mais c'était comme un momentum, comme si la chanson était faite pour ce moment là de ma vie. Bref, je vous laisse sur ces paroles et je vous revois dans quelques jours, une fois arrivée à Courseulles-sur-mer je vous redonnerai des nouvelles.

Les trois accords - ton avion

Non non, ne prends pas ton avion
Quand tu pars tout est long
Tout est long

En sortant de l’aéroport
Je retournerai à l’endroit
Où tu m’as dit je t’aime fort
Où tu m’avais dit que parfois

Tu aimais renifler l’odeur
De mes mitaines à 3 couleurs
C’était avant les détergents

Non non, ne prends pas ton avion
Quand tu pars tout est long
Tout est long

20 avr. 2007

Montana Meth project

Mon frère m'a montré le site internet du Montana Meth Project hier et j'ai été frappée par l'impact médiatique de ces publicités. Devant la popularité inquiétante du crystal meth, l'état du Montana aux États-Unis a monté une série de publicité à large spectre de diffusion (tv, radio, journaux) pour prévenir l'utilisation de cette drogue.

Le crystal meth est une drogue synthétique agissant sur les centres du plaisir. Elle est très abordable (environ le prix du pot), très accessible et facile à trouver, et pourtant beaucoup plus pernicieuse et addictive que l'héroïne. La meth empêche le cerveau de créer de la dopamine, empêchant l'utilisateur de cette drogue de retrouver un état de plaisir autrement qu'en utilisant plus de meth.

Cette campagne est frappante, d'abord par son efficacité à cibler des jeunes qui pourraient être intéressés à essayer la meth pour une première fois. Elle fait appel à des valeurs touchant ces jeunes telles que l'amitié, l'amour et la famille pour leur faire prendre conscience qu'ils ont beaucoup plus à perdre qu'à gagner en essayer la meth pour la première fois.

Le tout est bien conçu et réalisé, avec une ligne directrice regroupant toutes les pubs. Même si le contenu est parfois assez rough, jettez-y un coup d'oeil, je crois sincèrement que ça vaut la peine de faire connaître cette campagne.

19 avr. 2007

4 jours 3 jours

non mais y faisait tu beau rien qu'un peu hier? c'est pas une, pas deux, mais bien trois tites bières que j'me suis enfilée sur le balcon. les trois prochains jours seront beaux, chauds et ensoleillés: rien de mieux avant de partir.

18 avr. 2007

5 jours

une bonne nouvelle à partager avec tous: j'ai obtenu une bourse à la mobilité pour mon échange, ce qui signifie plus de soucis financier pour cette partie de mon séjour!

yes sir.
j'ai aussi commencé à faire mes boîtes. je m'y attendais mais c'est dépressant puisque ça concrétise le départ. Je crois que je n'ai jamais senti autant de pression par rapport à un voyage et mes sentiments sont très mitigés.

Mes amis allemands christoph et daniel me faisaient remarquer que mon peu d'excitation peut facilement s'expliquer par le fait que je sais pertinemment ce que je vais rencontrer pendant ce séjour. Je suis déjà partie pour une période aussi longue et je sais d'emblée les hauts et les bas que je vais vivre.

L'excitation du début, le sentiment d'alégresse qu'apportent les voyages, la découverte et l'exploration, puis la routine qui s'installe. Les petites habitudes indélogables et les nouvelles qu'on adopte à cause de ce nouvel environnement. Vient ensuite un creux, un sentiment de vide, de délaissement, de l'ennui aussi. On pense à la maison et ça nous manque. Les gens, les lieux, les odeurs... Les larmes faciles, la plume volatile, le téléphone et l'internet qui rendent tout si près et pourtant si loin... Les amis et la famille qui écrivent sans jamais savoir qu'un simple courriel peut déchaîner le niagara.

Et tranquillement, sans trop qu'on s'en aperçoive, ça passe. Ce qui nous est apparu comme nouveau ne l'est plus, mais pourtant on s'aperçoit redécouvrir l'espace nous entourent sous un nouvel oeil. On apprécie de nouvelles choses, de nouveaux lieux, de nouvelles personnes. Le choc est passé et le plaisir d'être à l'étranger revient tout doucement, aussi subtilement que s'était installé l'inconfort inexplicable qui nous habitait précédemment.

Alors que la fin approche, notre rythme de vie augmente. Tant de choses à faire, tant de choses à voir, tant de gens à connaître... Et pourtant, avec un voyage aussi long, on croyait avoir le temps de tout faire. Le temps nous rattrape, comme il l'avait fait avant notre départ il y a quelques mois. Les sentiments qui nous habitaient avant de quitter notre pays nous reviennent, mais sous un angle différent. Le retour est excitant, la hâte de revoir les amis et la famille venant contredire le désir de rester plus longtemps, de profiter du moment présent.

Bref, je sais ce que je vais trouver. et pourtant, dimanche, 18h, dans l'avion, je serai excitée comme une fillette à l'idée de ce voyage. mais pour l'instant, c'est à montréal que je suis.

17 avr. 2007

geeky awesomeness

Mingle2.com: Free Online Dating48% GeekMingle2.com - Free Online Dating

peu importe le sens qu'on y donne, considérons ça pas si pire pour l'honnêteté que j'y ai mis...

16 avr. 2007

6 jours

Wo bù hui shuo hanyu.

Note culturelle et linguistique: un chien qui jappe en chinois fait wong-wong..

15 avr. 2007

7 jours

Ainsi furent terminés les cieux et la terre et toutes leurs armées. Dieu avait achevé le septième jour l’œuvre faite par lui, et Il se reposa le septième jour, de toute l’œuvre qu’il avait faite
Genèse 2, 1-2

je doute fort que ça s'applique dans l'autre sens...

14 avr. 2007

8 jours

Todo list à 8 jours du départ:
- étude communication organisationnelle pour examen de lundi
- étude chinois pour examen de lundi
- pas d'étude pour l'examen d'information internationale de mardi. on boycott.
- vérifier l'état de mon dossier d'échange avec le bureau des relations internationales
- installer photoshop
- faire signer la procuration par ma nouvelle coloc pour tous les guedis reliés à l'appart
- appeler mastercard et desjardins pour les aviser de mon départ
- terminer la recherche sur un soldat décédé au combat pour avoir suffisamment d'info. pour préparer ma présentation de cinq minutes dans l'avion (prérequis)
- terminer la lecture du gros bouquin sur le débarquement de normandie (prérequis)
- faire mes boîtes (sous-location oblige)
- faire mes valises (euh.. départ oblige)
- appeler AFS pour régler problèmes avec bénévolat
- aller au IKEA avec future coloc plus-que-surexcitée-de-sa-future-vie-d'appart!! (salut emi..)
- trouver adaptateur et convertisseur pour europe
- VOIR LES AMIS--> ce soir, demain, après-demain, et tous les autres.

12 avr. 2007

ah hydro, quand tu nous tiens!

une première journée de congé depuis ma démission et qu'est-ce que je fais? je vais chiller dans les bureaux avec le crew du mercredi pendant trois heures.
p.a.t.h.é.t.i.q.u.e.

5 avr. 2007

lectures et d'autres

petites lectures de la blogosphère québécoise que j'ai aimé, qui m'ont fait sourire ou encore pleurer récemment.
- l'explication tant attendue sur le Cone of Caring© de Jules
- l'excellent post de françois sur sa fête 4 mois à l'avance.
- Tales of her and me d'éli
- la première terrasse de l'année de mon frère max [et dire qu'il neige aujourd'hui...]
- une histoire à faire pleurer mais oh combien humaine... coeurs fragiles, à éviter
- la fin d'une belle aventure avec la Cigale et la fourmi

 

Free Blog Counter